Je n'aurais sans doute jamais eu l'idée de regarder Repo man sans une critique très sympa de Drelium.
http://www.senscritique.com/film/Repo_Man/critique/24260150
Il y a, en gros (mais pas sûr), deux lignes dans le film, qui se croisent plus ou moins (et souvent plutôt moins) :
- des repo men (sûr que vous n'aviez pas entendu parlé d'eux avant), qui sont des flics plus ou moins...
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Ripoux Malibu
Petit film culte en son pays, typiquement 80s et pourtant pas vraiment. Étrange, bancal et maladroit, et pourtant maîtrisé, sincère et attachant, il se cache derrière ses atours de bis SF (affiche très trompeuse) et s'afficherait presque comme un nanar Buckaroo Banzai-like si Alex Cox n'avait pas des choses à dire sans chercher à séduire. Repo Man pourra donc...
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SciFi's Punk's not Dead
Quand on lit le résumé du film, on s'attend à une sorte de mic-mac tres 80's, branché SF et comedie dejantée... En fait, ce film va beaucoup plus loin que ça, c'est une veritable ode et manifeste du punk au cinema, une fable delirante, philosophique et contemporaine du mouvement punk chez les jeunes blancs des quartiers de banlieues dans une amerique reaganienne... Dans son delire intense, le...
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Critique de La Mort en prime par Mothey
Si l'on doit admettre une chose de la décennie des année reagan, c'est avant tout l'empreinte indélébile qu'elle a laissée sur certains films.
Repo Man est incontestablement contaminé.
Véritable ode aux eighties et à une culture punk amoindrie par leur propre frénésie, chef d'œuvre d'Alex Cox (qui depuis son séjour à Bruxelles ne boit plus que de la Rochefort 8). Mais avant tout stèle de...
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Dans le coffre d'une Chevrolet Malibu de 64
"Kiss me deadly" de Robert Adrich revisité sauce punk et transposé dans les friches suburbaines de Los Angeles. On suit volontiers Emilio Estevez (un peu too much) et Harry Dean Stanton (juste génial) dans un drôle de film fou, tout en ruptures de tons et inventif. Iggy Pop sur la bande son.
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Perdu dans le ghetto
Petite comédie d’action des années 1980, Repo Man bénéficie d’une bonne réputation dans les milieux autorisés. Emilio Estevez campe un jeune branleur qui devient repo man, il va chercher les véhicules impayés par leurs propriétaires. Le job est mal vu aux States et totalement inconnu de notre côté de l’Atlantique. D’ailleurs, ça pose un problème puisqu’on a du mal a saisir les enjeux de ces...
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Critique de La Mort en prime par AMCHI
Repo Man avait tout pour être un sympathique petit film mais rapidement il semble mal maîtrisé, les effets comiques donnent l'impression d'être involontaires, Repo Man se veut transgressif et cool à la fois mais le fantastique est un élément qui s'intègre maladroitement au récit.
Sans grand intérêt.
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Critique de La Mort en prime par Jérôme Richenauer
Je ne sais absolument pas ce que je viens de voir. Et du coup c'est encore plus difficile de dire pourquoi j'ai tant aimé.
Nous avons Otto, un punk au fond du trou. Plus de job, plus de copine, pas de véritable cellule familiale... Un punk désabusé, amorphe et en même temps une pile, tout droit sorti des EU de Reagan. Un jour qu'il déambule dans Los Angeles, il rencontre Bud qui lui propose...
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Punk en costard et cravate rose
Qu’il est revigorant de se confronter à une bobine aussi déjantée que Repo Man. Aucune comparaison n’est possible, cet ovni venu d’ailleurs fait l’effet d’un cadavre exquis visuel en roue libre, stimulé par toute sorte de substances chimiques, et craché en mode automatique sous une impulsion cantonnée par aucune limite, qu’il est habituellement de coutume de cacher, un peu honteusement, au fond...
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Critique de La Mort en prime par Nuclearoller
J'ai fait une découverte géniale.
La première fois où l'on voit les frères Rodrigues dans leur caisse rouge, l'un avec un bob et une chemise à motifs très kitsch, et l'autre moustachu... J'ai revu autre chose. Raoul Duke et son avocat dans Las Vegas Parano. C'est peut-être une coïncidence, mais j'ai vraiment ri.
BREF. Parlons un peu plus du film.
J'ai pas particulièrement envie de m'étaler sur...
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