Dévisage, transfigure.
Au rang des personnages historiques, Jeanne d’Arc compte son lot d’adaptations cinématographiques, la demoiselle offrant tout ce qu’une saga peut escompter : destinée hors du commun, grandes...
le 3 juin 2020
35 j'aime
2
Le chef-d'oeuvre de Dreyer dans une copie magnifiquement restaurée en 2015 qui sublime la puissance dramatique folle des cadrages, de la photographie, du visage des acteurs et des mouvements de caméra, pour une projection historique à La Rochelle (la toute première qu'organisait le FIFLR à l'intérieur de l'Eglise Saint-Sauveur) illustrée en live par un musicien qui a très efficacement accompagné tout le film sur les nouvelles orgues de l'église.
En bon athée radical, une oeuvre sur le procès et la mort de Jeanne d'Arc me laissait présager une rapide pulsion de fuite ; j'ai carrément pris une claque ! Un grand film et une projection que l'on peut dores et déjà considérer comme LE temps fort de cette 44ème édition qui démarre merveilleusement !
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Festival International du Film de La Rochelle (2016)
Créée
le 3 juil. 2016
Critique lue 218 fois
D'autres avis sur La Passion de Jeanne d'Arc
Au rang des personnages historiques, Jeanne d’Arc compte son lot d’adaptations cinématographiques, la demoiselle offrant tout ce qu’une saga peut escompter : destinée hors du commun, grandes...
le 3 juin 2020
35 j'aime
2
Je sais que tu n'en as rien à faire mais je vais causer un peu de moi et puis, promis, on passe aux choses sérieuses. Je suis natif de Rouen. Et je peux dire que j'en ai sucé et re-sucé de la...
Par
le 7 janv. 2013
35 j'aime
31
Lorsque la mise en scène d’un film épouse à la perfection son propos, on peut d’ores et déjà parler d’un mariage heureux. Mais il arrive que la forme transcende le fond, d’une telle force que le...
le 3 juil. 2016
23 j'aime
7
Du même critique
La Rochelle, 26 juin. Jour de mon anniversaire et de l'avant-première de Au revoir là-haut en présence d'Albert Dupontel. Lorsqu'il entre dans la salle à la fin de la projection, le public...
Par
le 27 juin 2017
53 j'aime
4
Je n'accorde habituellement que très peu de crédit au vieux débat clivant qui oppose bêtement cinéma populaire et cinéma d'auteur (comme si les deux étaient deux genres définitivement distincts et...
Par
le 27 mars 2018
48 j'aime
19
Voilà un long métrage qui, en apparence, accumule les défauts : une erreur monumentale dans le choix de la date dès le carton d'ouverture (l'action se situe dans un Paris post-apocalyptique...
Par
le 24 nov. 2016
43 j'aime