Une perverse mélodie
Erika, femme proche de la quarantaine, est l’archétype de la vieille fille bourgeoise qui s’effondre jours après jours. Professeur de piano, endimanchée de manière sobrement terne avec un long...
Par
le 26 janv. 2015
54 j'aime
3
Créée
le 1 févr. 2011
Critique lue 408 fois
1 j'aime
D'autres avis sur La Pianiste
Erika, femme proche de la quarantaine, est l’archétype de la vieille fille bourgeoise qui s’effondre jours après jours. Professeur de piano, endimanchée de manière sobrement terne avec un long...
Par
le 26 janv. 2015
54 j'aime
3
... disait Deleuze. La pianiste organise cette orgie impuissante de méchanceté et de perversité, derniers tristes pouvoirs de deux faux complices qui avaient cru pouvoir s'approcher sur les chemins...
Par
le 10 avr. 2011
40 j'aime
7
Isabelle Huppert dans le role d'Isabelle Huppert: je reste froide et glaciale, parce que si je souris, je vais péter mon lifting à 20 000 euros. Huppert se touche, oui mais Huppert ne peut pas se...
Par
le 15 janv. 2012
39 j'aime
8
Du même critique
Peu de livres sentent autant le souffre que celui-ci. Précieux témoignage sur le milieu journalistique d'avant guerre et la débâcle française, il fut à peu près impossible de le republier après la...
Par
le 2 févr. 2011
34 j'aime
5
Dès que je me suis inscrit sur Sens critique et que j'ai vu l'onglet « musique » grisé, j'ai su quel serait le premier album que je chroniquerai. Pourquoi « Storm of the lights bane » en particulier...
Par
le 17 janv. 2012
31 j'aime
"C'est CA Mad Max ?" Voilà ce que toute personne honnête devrait vous dire après avoir vu le film. Mad Max dure moins de 10 minutes, à la toute fin du film. Entre-temps le personnage ne fait rien et...
Par
le 5 janv. 2015
21 j'aime
2