Une perverse mélodie
Erika, femme proche de la quarantaine, est l’archétype de la vieille fille bourgeoise qui s’effondre jours après jours. Professeur de piano, endimanchée de manière sobrement terne avec un long...
Par
le 26 janv. 2015
54 j'aime
3
Créée
le 7 août 2010
Critique lue 404 fois
2 j'aime
D'autres avis sur La Pianiste
Erika, femme proche de la quarantaine, est l’archétype de la vieille fille bourgeoise qui s’effondre jours après jours. Professeur de piano, endimanchée de manière sobrement terne avec un long...
Par
le 26 janv. 2015
54 j'aime
3
... disait Deleuze. La pianiste organise cette orgie impuissante de méchanceté et de perversité, derniers tristes pouvoirs de deux faux complices qui avaient cru pouvoir s'approcher sur les chemins...
Par
le 10 avr. 2011
40 j'aime
7
Isabelle Huppert dans le role d'Isabelle Huppert: je reste froide et glaciale, parce que si je souris, je vais péter mon lifting à 20 000 euros. Huppert se touche, oui mais Huppert ne peut pas se...
Par
le 15 janv. 2012
39 j'aime
8
Du même critique
Quand je parle de Beigbeder j'ai toujours l'impression qu'on va me lapider pour aimer ce qu'il écrit. J'ai du mal à trouver ce qu'on lui reproche, finalement. C'est un auteur, à prendre ou à laisser...
Par
le 16 sept. 2010
12 j'aime
11
Grand dépouillement pour évoquer le thème de la mort et du suicide chez le peuple Iranien. Le film comportait quelques longueurs, j'ai trouvé, puisque je me suis endormi à quelques reprises, pour...
Par
le 8 août 2010
9 j'aime
1
On a beau dire, c'est un classique d'éveil spirituel. Il vous sera souvent recommandé, et je dois dire que quand on me l'a conseillé, j'ai fait la moue. Mais une fois commencé, il m'était impossible...
Par
le 9 août 2010
6 j'aime
1