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La route est longue
Si vous avez des problèmes dans la vie, que vous enchaînez les malchances et les mauvais coups du sort, que vous êtes malade et orphelin, que votre femme s'est taillée avec votre caisse mais sans...
le 3 mars 2011
91 j'aime
7
Ok, d'accord, ça c'est de l'apocalypse.
Il y a un truc qui cloche avec ce gosse, malgré tout ce que l'on essaye de faire ressortir au travers de cet enfant n'ayant connu que l'apocalypse, l'espoir, la candeur, l'humanité, je n'ai pas ressenti une once d'émotion pour le personnage. Seul les sentiments de son père envers lui nous impactent vraiment.
A part ce point noir l'on ne peut qu'admirer la performance de Mortensen et l'apocalypse telle qu'elle est dépeinte. Les paysages transpirent la mort et la dévastation tandis que les survivants en sont réduis à revenir aux instincts primitifs et bestiaux pour survivre. Le tableau fait froid dans le dos et est bien plus percutant de ce côté là qu'un Le jour d'après, 2012 ou Je suis une légende (qui jouent dans un tout autre registre on est d'accord - désolé pour mes faibles références en mondes post-apocalyptiques <:o).
La conclusion de ce voyage, une fois l'enfant totalement livré à lui même dans cette horreur, est aussi une déception, c'est gentillet, c'est plat, pas touchant pour un sous. Il aura du se prendre en main 2 minutes chrono.
Alors d'accord on nous signifie qu'il y a d'autres "gentils", l'humanité au sens noble survie, persiste encore malgré tout.
Oui mais bof, d'un côté j'aurais aimé qu'après le spitch rassurant de l'inconnu on se mange un cliffhangfer dans la tronche et que l'enfant parte carrément à la casserole.
A part ce point noir l'on ne peut qu'admirer la performance de Mortensen et l'apocalypse telle qu'elle est dépeinte. Les paysages transpirent la mort et la dévastation tandis que les survivants en sont réduis à revenir aux instincts primitifs et bestiaux pour survivre. Le tableau fait froid dans le dos et est bien plus percutant de ce côté là qu'un Le jour d'après, 2012 ou Je suis une légende (qui jouent dans un tout autre registre on est d'accord - désolé pour mes faibles références en mondes post-apocalyptiques <:o).
La conclusion de ce voyage, une fois l'enfant totalement livré à lui même dans cette horreur, est aussi une déception, c'est gentillet, c'est plat, pas touchant pour un sous. Il aura du se prendre en main 2 minutes chrono.
Alors d'accord on nous signifie qu'il y a d'autres "gentils", l'humanité au sens noble survie, persiste encore malgré tout.
Oui mais bof, d'un côté j'aurais aimé qu'après le spitch rassurant de l'inconnu on se mange un cliffhangfer dans la tronche et que l'enfant parte carrément à la casserole.
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Écrit par
Créée
le 30 mai 2010
Critique lue 300 fois
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