Un Amour absolu
Un être en pleine jeunesse, beau et pur mais déjà marqué par un certain défaitisme, c'est ainsi qu'apparaît Myra, jolie danseuse rencontrée lors d'un raid aérien, sur le pont de Waterloo Bridge...
Par
le 31 juil. 2011
43 j'aime
47
Remake flamboyant du film de James Whale, cette version se distingue de la précédente par son style glamour visuellement splendide, Vivien Leigh et Robert Taylor forment un couple sublime et la scène du bal, avec ses chandelles qui s’éteignent progressivement pour laissé les amoureux dans la pénombre reste un sommet de romantisme. Le thème de la prostitution, présent dans la version d’origine est bien sur abordé, mais de manière moins frontale. C’est bien là la grande différence entre les films pré-code et ceux qui suivirent, Hollywood entrait de nouveau dans l’ère du rêve et de l’illusion, dont les studios ne ressortirons vraiment qu’à la fin des années 60.
Créée
le 19 nov. 2015
Critique lue 199 fois
D'autres avis sur La Valse dans l'ombre
Un être en pleine jeunesse, beau et pur mais déjà marqué par un certain défaitisme, c'est ainsi qu'apparaît Myra, jolie danseuse rencontrée lors d'un raid aérien, sur le pont de Waterloo Bridge...
Par
le 31 juil. 2011
43 j'aime
47
C’était du temps où l’amour était sacré, pur, au dessus de toute corruption. Myra et Roy s’aiment d’un amour fou, dans les temps troublés de la première guerre mondiale. Myra est une belle et...
Par
le 3 oct. 2012
29 j'aime
44
C'est un peu (beaucoup) le plus beau et le plus triste film du monde, sorte de manifeste du mélodrame hollywoodien. Film de guerre ou l'on ne voit pas la guerre, film social ou l'on ne voit pas la...
Par
le 13 déc. 2012
17 j'aime
12
Du même critique
Sur un sujet proche, Villeneuve réussit là ou son collègue Nolan avait partiellement échoué sur « Interstellar ». On y parle de l’intime et du collectif, de temps et d’espace, la temporalité étant...
le 8 déc. 2016
13 j'aime
2
Les bonnes causes ne font pas forcément de bons films. Ici le sujet est traité avec les gros sabots habituels du cinéma français. Scènes tire larmes suivies de leçons de morale ne laissant place à...
le 4 nov. 2016
11 j'aime
10
Un bon western classique, conçu initialement pour la 3D. John Wayne y campe un éclaireur métisse, ce qui ne semble pas évident à première vue, mais le bonhomme est tellement à l’aise dans ses bottes...
le 20 janv. 2014
11 j'aime