Avec La Vengeance d’une blonde, le petit cinéma de Jeannot Szwarc s’ouvre à la comédie populaire française et s’inscrit dans une veine portée par la troupe du Splendid et surtout mise en scène par le réalisateur Jean-Marie Poiré, auquel il emprunte d’ailleurs ses tics de metteur en scène, à savoir un montage nerveux qui relie entre elles des séquences construites sur une montée en puissance burlesque – une action prend de l’ampleur, gonfle jusqu’à l’explosion, puis coupe –, une... Lire la critique de La Vengeance d'une blonde