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Un puzzle.
La construction de la malédiction des hommes-chats est étrange. Elle ressemble à un puzzle dont certaines des pièces maitresses auraient été retirées. Il manque quelque chose à la structure des...
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le 20 janv. 2015
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La Malédiction des hommes-chats par Raphael Laurent
Un film très important pour un réalisateur que j'admire : Robert Wise. Qui a été choisi pour terminer le film que Gunther von Fritsch avait débuté.
Cette suite de La Féline nous propose cette fois de nous focaliser sur la petite Amy. L'univers onirique alliant les craintes et l'inconscience de l'enfance, manque légèrement d'ambition mais Edward Stevenson est là pour raviver le ton. Les costumes font d'ailleurs penser à l'univers de Renoir avec qui il collaborera par la suite.
La réalisation de Wise est remarquable vers la fin, quand les plans resserrés se succèdent donnant du relief à la tension finale.
J'ai la vague impression que les acteurs n'étaient pas aux mieux de leur formes lors du tournage. Surtout quand on se rend compte que l'actrice qui joue Amy est la plus douée à côté d'acteurs renommés.
Cette suite de La Féline nous propose cette fois de nous focaliser sur la petite Amy. L'univers onirique alliant les craintes et l'inconscience de l'enfance, manque légèrement d'ambition mais Edward Stevenson est là pour raviver le ton. Les costumes font d'ailleurs penser à l'univers de Renoir avec qui il collaborera par la suite.
La réalisation de Wise est remarquable vers la fin, quand les plans resserrés se succèdent donnant du relief à la tension finale.
J'ai la vague impression que les acteurs n'étaient pas aux mieux de leur formes lors du tournage. Surtout quand on se rend compte que l'actrice qui joue Amy est la plus douée à côté d'acteurs renommés.
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le 11 nov. 2014
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