Le Château du dragon par bidulle3
Le riche Nicholas van Ryn invite part simple relation la jeune et très jolie Miranda Wells pour qu'elle s'occupe de sa fille. Propriétaire d'un château, propriétaire de toute les terres, les paysans travail pour lui et doivent payé leur impôt sous peine de sanction. Mais c'est sans compté sur docteur Jeff Turner, homme du bas monde, luttant contre van Ryn et surtout ennemi de ce dernier. Les deux homme n'ont un qu'un point commun, Miranda Wells ... Premier film de l'illustre Joseph Leo Mankiewicz, il fait part d'une remarquable maîtrise. La mise en scène est parfaite, tant la tension monte crescendo et de manière très intelligente laissant le doute plané, laissant le spectateur en état de réflexion mais aussi d'oppression. On pourrais d'ailleurs y trouvé des éléments similaire a "L'aventure de Mme Muir" réalisé seulement un an après. Et comme par hasard, on y retrouve Gene Tierney, plus belle jamais dans un rôle qui lui va si bien. A travers son personnage, Joseph Leo Mankiewicz s'attaque à plusieurs chose et tout d'abord le rêve, le rêve d'une jeune femme, qui depuis toute petite fille rêvait de vivre avec les grands de ce monde, dans un château telle une princesse, pensant que tout était mieux la bas. Son couple formé avec Vincent Price n'est pas inédit puisque c'est leur troisième collaboration mais pour la première fois, les deux protagonistes se marient. Vincent Price incarne un richissime homme, détestable, arrogant, fier et méprisant. Le trio du film est complété par Glenn Langan, en quelque sort le vrai prince charmant, le héros malgré lui, mais sur qui pourtant quelque question peuvent subvenir ... Espèce de "Belle et la bête", ont y retrouve quelque chose de "Rebecca" D'alfred Hitchcock. Le château du dragon, signe les débuts d'un cinéaste prometteur dans un style bien a lui, réalisant un classique du genre dans une ambiance quelque fois fantastique, voire légèrement horrifique sonnant le sommet du film dans une dernière demi heure intense, puissante, nous faisant frissonné tant part ces acteurs que part la révélation. Vincent Price dans la démesure, complétement fou, absorbé part toute sa haine et part la drogue nous laisse sans voix. "Dragonwick" restera a coup sûre l'une des demeures les plus marquantes, dans une oeuvre gothique où le noir et blanc apporte grande contribution.