On sort de ce film en maudissant la laideur physique du monde contemporain qui nous entoure. Car là-bas, chez Malaparte, tout est beau. La Toscane (le premier plan sur la campagne est fabuleux), les roues de charrette, les couteaux, les chaussures, les murs, les rues, les fichus, les jambes des fouleuses de raisin, les meubles, les cyprès, les églises, les toits, les mains, les chaises et même... Lire la critique de Le Christ interdit