
Quelques dialogues balourds, notamment lorsqu'il s'agit d'expliquer la transition Darmon/Elmosnino, des transitions musicales très Sous le soleil, un scénario un peu paresseux qui fait volontiers tourner la photocopieuse et un casting très inégal (beaucoup de petits rôles, dont le gamin qui joue Léo, n'ont clairement pas le niveau) : voilà pour les points faibles de ce troisième volet tourné comme un téléfilm d'une saga sympa que l'on retrouve malgré tout avec un plaisir égal.