Après Shaun of the Dead, Hot Fuzz en avait perturbé plus d’un. The World’s End persiste dans cette veine, celle qui nous fait renouveler avec nos habitudes chez Edgar Wright tout en amenant des choses nouvelles pour un résultat foutraque, barré, généreux et sans doute un peu trop convulsif. Peut-être trop attendue pour ne pas être vraiment surprenante, la conclusion de la trilogie Cornetto reste une comédie hautement sympathique proposant son lot de scènes mémorables, tout en nous prouvant constamment qu’il était temps pour le trio anglais de s’arrêter, avant de faire le film de trop.
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