
Difficile de résister à la composition de Colin Firth qui emporte le film au-delà du simple classicisme qui tenait dans l'ensemble des autres ingrédients du métrage (au hasard, la réal, les décors et Helena Carter Bonham); l'acteur porte le film sur ses épaules, aidé il est vrai par un Geoffrey Rush qui joue un rôle taillé pour lui; sur un sujet comme celui-là (aka pas le plus excitant du monde), on passe 2 heures sans s'ennuyer une seconde, et ça c'est déjà un exploit en soi.