Critiques de Le Dos rouge

Multipla_Zürn
8

Critique de par Multipla_Zürn

Je n'aime pas tout dans Le Dos Rouge, mais ce que j'aime, je l'aime vraiment. D'abord, c'est un film généreux. Il y a de vraies scènes, du sens, une profusion de significations (c'est un film pensé),...

le 11 août 2015

9 j'aime

mymp
7

Autoportrait au musée

Elle parle de son fils quand, petit, elle l’emmenait dans les musées et lui faisait découvrir monts et merveilles, le confrontant ainsi aux grands artistes, les romantiques, les surréalistes, les...

Par

le 24 avr. 2015

7 j'aime

3

pierreAfeu
7

Monstre, où es-tu ?

Voilà certainement l'un des films les plus singuliers de ce début d'année. Il a tout pour être agaçant mais jamais il n'agace. On pourrait le croire pédant, présomptueux, maniéré, il est léger,...

le 21 avr. 2015

6 j'aime

1

Étienne_B
8

Ça gratte encore…

Étonnant de voir, après Réalité de Dupieux, un autre film sur le processus de création d'un flim (justemment), qui symbolise l'exercice par un grattement, une rougeur, une démangeaison. Le moyen est...

le 28 avr. 2015

2 j'aime

3

FrankyFockers
7

Critique de par FrankyFockers

ça commence comme un croisement entre Marguerite Duras et Eugene Green, c'est donc 100% pour moi, mais en même ça ne détache pas assez de ses deux gros piliers. Pas tout de suite, en fait, puisque ça...

le 16 déc. 2015

1 j'aime

Hugo_Harnois_Kr
3

Critique de par Hugo Harnois

"Quand on exagère, les chose deviennent bien plus intéressantes, vous ne trouvez pas ?" Cette question, posée par Jeanne Balibar à Bertrand Bonnello, représente le leitmotiv du Dos rouge. Le...

le 20 mai 2015

1 j'aime

pilyen
9

Rouge de plaisir

Si je tente de résumer "Le dos rouge", je dirai que c'est l'histoire d'un réalisateur dont le prochain film, déjà sur les rails, a besoin d'une figure monstrueuse pour une raison obscure, même pas...

le 17 mai 2015

1 j'aime

LauraT12
8

Critique de par Laura Thieblemont

Verbeux, snob, parisien mais caustique et savoureux. Une forme d'auto-dérision et de regard gentiment sarcastique sur le microcosme parigot des m'as-tu-vu! Une belle déclaration d'amour aux rats de...

le 3 mai 2015

1 j'aime

Bea_Dls
5

Freaks

La genèse de ce deuxième long-métrage d’Antoine Barraud est complexe, car il est à la fois la forme finale de ce qui devait être un documentaire sur le cinéaste Bertrand Bonello, et l’expression de...

le 21 avr. 2015

1 j'aime

Lydra
6

Prendre le temps...

Antoine Barraud est formel : on ne résume pas un film. Car c’est, d’abord, faire du mal à l’oeuvre, mais aussi symptomatique d’un plus grand mal : la tendance d’aujourd’hui à vouloir tout faire et...

le 3 mai 2015

1 j'aime