Critiques de Le Duel silencieux

Sergent_Pepper
7

Les plus désespérés sont les gens les plus beaux.

En grand humaniste, Kurosawa a souvent utilisé la figure du médecin dans ses films, qu’il s’agisse de l’Ange Ivre ou bien entendu la somme Barberousse. Dans cet opus des débuts, qui succède à l’Ange...

le 9 janv. 2015

40 j'aime

Docteur_Jivago
8

Tourments intérieurs

Alors que l'on retrouvera régulièrement et sous différentes formes la guerre dans le cinéma de Kurosawa, Le Duel Silencieux évoque un médecin qui, en soignant un soldat blessé par balle, va...

le 5 mars 2017

24 j'aime

Kobayashhi
7

Le silence éloquent d'un duel contre soi-même...

Une petite année seulement après le mémorable Yoidore Tenshi livré par Kurosawa, il choisit de conserver le même contexte historique, un casting identique et un médecin comme personnage principal,...

le 17 août 2013

20 j'aime

3

abscondita
7

« l’homme dégoulinant de sueur »

Kyoji, un jeune médecin, contracte la syphilis, durant la seconde guerre mondiale, en soignant un blessé qui était atteint de la maladie. De retour chez lui après la guerre, il renonce à se marier...

le 28 nov. 2022

16 j'aime

10

Eren
7

Le silence du malheur.

Il y a une période de l’histoire qui revient très souvent dans les films de Kurosawa, celle du Japon d'après-guerre, et on peut comprendre ce choix. Pourquoi ? Parce qu'il peut traiter moult...

Par

le 16 août 2013

15 j'aime

11

Tocotoc
7

Crève-cœur médical

Si la filmographie d'Akira Kurosawa comporte son lot de grands films, « Le Duel silencieux » fait indéniablement partie des malheureux oubliés du grand public. Ce duel silencieux, il concerne un...

le 25 févr. 2017

11 j'aime

6

Plume231
7

Derrière les grilles !!!

La séquence d'introduction, où le protagoniste opère un blessé pendant la Guerre alors qu'il pleut à verse (personne n'a jamais mieux filmé la pluie que ce réalisateur !!!) et où il va attraper...

le 5 juin 2017

11 j'aime

2

SPilgrim
8

Si seul, si seulement je pouvais t'aimer

Il y a un aspect du cinéma d’Akira Kurosawa qui me fascine, tant l’homme maîtrise sa technique : le cadre se substitue à bien des égards aux corps de ses personnages. Le mouvement gratuit semble...

le 2 oct. 2017

5 j'aime

1

PiotrAakoun
6

Critique de par PiotrAakoun

Film charnière de Kurosawa préfigurant le chef d'oeuvre "Barberousse"

le 1 févr. 2013

3 j'aime

Scolopendre
6

Touche d'inélégance

Kurosawa c'est souvent un cinéma explicite, premier degré. Il y a des couches de non-dits bien sûr, mais toujours sous une surface d'énoncé à haute voix. C'est un bavard, il fait du cinéma-conte...

le 12 juil. 2022

1 j'aime