Je serais bref, un Van Damme ça ne s'analyse pas.
De la baston impeccablement chorégraphiée, un Roger Moore en roue libre, une histoire indianna-jonesque toute pourrie vite oubliée face à la toujours efficace mécanique du tournoi (l'adversaire me fais mal, mais je le tabasse deux fois plus avant de tomber sur un type encore plus balaise. Pour un peu on se croirait dans un shônen) et un défilé de clichés proprement fascinants (mention spéciale à l'espagnol et, bien entendu, au français).
Que faut-il de plus à part un pack et des potes ?
Eh bien il faut attendre la fin pour voir notre belge cocaïné se faire rétamer (au début bien sûr) par un mongol de 150 kg. Là on est bien.
Bon 6/10 quand même hein faut pas déconner non plus.