C'est fini. Fini le Tolkien à l'écran.
A l'avant-première du 4 décembre à Paris, nous avons hurlé de joie, de tristesse. Parce que ce dernier volet est le meilleur de la trilogie, et se rapproche tant soit peu du Seigneur des Anneaux.
De réels moments d'émotion sont instaurés. Du fan-service de tous les côtés (la discussion entre Legolas et son père à la fin du film a fait hurler de joie toute la salle), la fin qui clôt la boucle mais en commence une autre.
Une dose d'héroïsme, de guerriers elfes trop classes, de nains bourrins au marteau, et 30 min d'epicness pure made in Legolas.
Pour nous achever, Billy Boyd (Pipin dans LOTR) nous livre une chanson magnifique pour clore le film.
En sortant, on ne peut s'empêcher d'être nostalgique et de revoir Frodon Sacquet et la Communauté de l"Anneau travers la Terre du Milieu jusqu'au Mordor, et on ne peut s'empêcher de repenser aux batailles emblématiques, gigantesques, mais aussi aux personnages mythiques.
Gloire à Tolkien. Gloire à Peter Jackson. Gloire à tous ceux qui ont endossé des rôles mythiques qui nous ont fait rêver.
Et adieu.