Rideau
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Coppola donne ici l’extrême onction à une mythologie qui s’est complètement embourgeoisée à force de vouloir surjouer la respectabilité : on n’y compte plus les cérémonies familiales, processions religieuses, diner cocktails mondains où la saga – n’ayant de toute évidence plus rien à nous dire- se complait à se regarder dans le miroir triste de prestations sans saveurs et de romances niaises, achevée par le népotisme (Sofia Coppola) et la déchéance de vieilles gloires qui ne sont plus que de vagues reflets désenchantés de leur grandeur passée (Pacino finit par s’étourdir lui-même à force de roulements d’orbites) .Confuse, fade, sans personnalité, l’intrigue étire son manque de caractère au bout de ces 2h40 de métrage comme un pénible voyage au bout de l’ennui.
Créée
le 6 févr. 2017
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