Je ne sais pas si le film de Joe Penna (Arctic) est le résultat de la pandémie actuelle. L’année prochaine ne sera-t-elle rien d’autre que des tournages goulots avec un casting limité à trois ou quatre acteurs ? Une ou deux étoiles décentes avec quelques personnes de la télévision pour rendre l’expérience passable ? Vous pouvez presque sentir le personnel du studio se précipiter dans l’enfer du développement où les scripts ont été la collecte de la poussière pendant des décennies, comme ils se bousculent pour remplir leurs calendriers. Je ne suis pas sûr de la date du tournage de Le Passager nº 4, mais c’est un micro cast et les effets spéciaux pâlissent en comparaison avec d’autres odyssées spatiales. Cela suggère que ce sera la nouvelle tendance. Ne vous inquiétez pas, cependant, il y a encore des trous dans l’intrigue exaspérants en cours de route.
Critique disponible en intégralité : https://cestquoilecinema.fr/critique-le-passager-no-4-platitude-et-frustration-vide-recit-spatial/