Il n'y a que deux systèmes. Le zéro et l’infini.
Le microcosme le zéro, le je, délaissé au profit du macrocosme le nous dans une société communautaire où l’individu est considéré comme quantité infinitésimale par rapport à la collectivité, quantité infinie.
Le macrocosme, l'infini, le nous délaissé au profit du microcosme le je dans une société égocentrique ou l'individu se réalise par lui-même en se servant du contexte opportuniste de son époque.
Le pouvoir du zéro (l’individu) ou de la masse (l’infini) dans une même image garnie d’éternelles alternances temporelles.
Tous ensemble chacun pour soi.
K est laminé puis éliminé par un ou plusieurs pouvoirs anonymes s'acharnant sur un esprit sans défense endurant son Golgotha dans un contexte hallucinatoire constitué de dominances et de soumissions.
Harcelé par des interrogatoires soudains et éprouvants ne faisant qu'entretenir les impacts d'un complexe de culpabilité formaté sur un cobaye ciblé au hasard.
Il faut atteindre péniblement des tribunes surélevées afin de plaider sa cause devant des accusateurs procéduriers canalisant leur paranoïa en s'acharnant à l'aide d'un faux procès sur un tiers essuyant en vain les plâtres d'un système susceptible de toucher n’importe lequel de ses tortionnaires.
"Ne me demande pas pour qui sonne le glas, il sonne pour toi".
L'empire du paradoxe ou un parti totalitaire vaporise une ressource tout en étant sous la menace de ses propres arguments pouvant à n'importe quel moment se retourner contre lui.
Encaisser de soudains revirements incohérents.
Étendre ou comprimer ses espoirs et ses doutes dans une structure miniaturisée ou pyramidale.
Survivre à la claustrophobie scruté par des regards d'adolescents indifférents et moqueurs.
S’enfuir terrorisé dans des passages hachurés de lumières.
Un processus expérimental d'extermination dans un acharnement administratif programmé, volontairement incohérent, humiliant continuellement un visage de plus en plus décomposé.