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Tystnaden
Troisième opus de son triptyque nihiliste, Tystnaden est une œuvre culte de l'illustre réalisateur Suédois. "Film de chambre" car intimiste, explorant de façon particulièrement poussée et sagace la...
Par
le 30 mai 2011
27 j'aime
Le Silence par Cinephage01
Troisième et dernier opus des "films de chambre"
Une histoire de deux soeurs que tout oppose : Anna, accompagnée de son fils Johann, est une femme frivole à la sensualité exacerbée et Esther est une traductrice un peu psychorigide en apparence. Durant un voyage dans un pays étranger où aucun des trois personnages ne parle la langue.
Les deux soeurs vont se déchirer à cause de la maladie dont semble souffrir Esther, de la jalousie qu'elle éprouvent l'une pour l'autre mais également en raison des sentiments amoureux qu'Esther éprouve pour sa soeur. Bergman introduit pour la première fois une histoire d'inceste (thème qui se retrouvera plus tard dans Cris et Chuchotements et Saraband). L'amour n'est ici que souffrance, peut-être même qu'il est la cause du mal dont souffre Esther. Le silence n'en est que plus pesant. La scène où l'on voit Esther agonisait dans son lit est l'une des plus douloureuse de la filmographie de Bergman.
Une histoire de deux soeurs que tout oppose : Anna, accompagnée de son fils Johann, est une femme frivole à la sensualité exacerbée et Esther est une traductrice un peu psychorigide en apparence. Durant un voyage dans un pays étranger où aucun des trois personnages ne parle la langue.
Les deux soeurs vont se déchirer à cause de la maladie dont semble souffrir Esther, de la jalousie qu'elle éprouvent l'une pour l'autre mais également en raison des sentiments amoureux qu'Esther éprouve pour sa soeur. Bergman introduit pour la première fois une histoire d'inceste (thème qui se retrouvera plus tard dans Cris et Chuchotements et Saraband). L'amour n'est ici que souffrance, peut-être même qu'il est la cause du mal dont souffre Esther. Le silence n'en est que plus pesant. La scène où l'on voit Esther agonisait dans son lit est l'une des plus douloureuse de la filmographie de Bergman.
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le 17 août 2012
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