La simple évocation de son nom nous renvoie l'image de ce cinéma de l'excès qui lui colle si bien à la peau. Kusturica est devenu, au fil du temps, l'emblème de l'exubérance, du débordement, du brouhaha et d'une joie de vivre caricaturée à l'outrance. Il faut dire, qu'à voir ses derniers films, le bonhomme n'a rien fait pour démériter cette réputation, bien au contraire. Seulement, on n'oublie parfois que le cinéma de Kusturica, n'est pas que du vacarme, des cris et un orchestre qui joue à... Lire la critique de Le Temps des gitans