Il était une fois un sorcier qui se refusait à grandir et qui, par générosité, s’était privé de son cœur. Avouons que Le château ambulant n’est pas d’un abord aisé. Ce long métrage tient une place à part dans la filmographie du maître japonais. Si nous retrouvons ses tropismes habituels : • de la magie noire, des démons élastiques et des sortilèges ; • une Europe de la fin du XIXe siècle à la technologie steam-punk contemporaine de celle du Lire l'avis à propos de Le château ambulant