So British !
Après L'homme qui en savait trop en 1934, Les 39 Marches confirme Hitchcock dans l'espionnage et le suspense, style qu'il continuera d'exploiter jusqu'à la fin de sa carrière. On retrouve ici tout ce...
le 5 juil. 2016
36 j'aime
4
Pas le meilleur Hitch que j'aie pu voir.
L'intrigue est un peu tirée par les cheveux à certains moments et toutes les résolutions ne sont pas convaincantes : en fait, c'est parfois un peu ridicule, un peu trop facile. La mise en place est également assez peu crédible. Mais bon, on trouve aussi de bonnes confrontations, quelques bons conflits, des personnages sympas et une relation forcée exploitée assez agréablement (dommage que ça ne soit amené que tardivement dans ce récit).
La mise en scène de Hitch est reconnaissable : des gros plans sur des pieds, des mains en mouvement en guise d'ouverture. Globalement, c'est bien filmé ; quelques maladresses malgré tout, qui renforcent le côté un peu naïf de l'écriture. Mais aussi quelques idées fort bien trouvées, comme ce panneau qui permet de passer de l'intérieur de la voiture de profil à l'extérieur de dos (il y a clairement une coupe, mais c'est assez discret, l'effet est donc réussi). Le casting est correct.
Bref, ça se regarde mais l'intrigue comporte quelques faiblesses.
Créée
le 9 févr. 2020
Critique lue 135 fois
2 j'aime
6 commentaires
D'autres avis sur Les 39 Marches
Après L'homme qui en savait trop en 1934, Les 39 Marches confirme Hitchcock dans l'espionnage et le suspense, style qu'il continuera d'exploiter jusqu'à la fin de sa carrière. On retrouve ici tout ce...
le 5 juil. 2016
36 j'aime
4
Zut, j'ai loupé le caméo, il va me falloir un deuxième visionnage! Histoire d'un homme accusé à tort de meurtre et qui fuit pour essayer de prouver son innocence (tiens, tiens, j'ai déjà vu ça...
Par
le 14 janv. 2011
33 j'aime
2
British en diable, enlevé, très drôle et fin. L'acharnement du monde contre l'espion malgré lui est jubilatoire, et le flegme avec lequel il affronte certaines situations - et sa compagne - est un...
le 19 juin 2013
24 j'aime
4
Du même critique
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
121 j'aime
35
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
115 j'aime
45
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
101 j'aime
55