8
Peckinpah Hardcore
Le film va diviser... Encore plus que d'habitude pour du Tarantino, mais sur le plan moral essentiellement, là où les précédents Tarantino décevaient également sur la forme, avec des films...
Par
le 25 déc. 2015
259 j'aime
26
Les 8 Salopards par RedacJack
Comme pour sa trilogie "gangster", Tarantino livre un second western se démarquant du précédent. Deux chasseurs de primes se croisent et se retrouvent enfermés dans une cabane avec des cowboys inconnus et la proie dangereuse et retord de l'un deux. Le suspense peut commencer...
Tarantino surprend dans une première partie qui installe calmement son petit monde pour mieux dérailler dans les deux derniers actes. Pas de panique, je ne spoilerai rien du tout et vous laisserez découvrir ce petit chef d'œuvre de mise en scène teinté, comme de bien entendu, d'humour et de violence.
On a pu lire bien des choses, hommage au "The Thing" de Carpenter et reprise de "Reservoir dogs", oui et non, "Les 8 salopards" démontre que Tarantino est encore capable, vingt- quatre ans après son premier film, d'aller là où on ne l'attend pas, ou du moins d'y aller d'un pas reconnaissable mais trompeur.
LE film à voir absolument sur grand écran !!!
9
Écrit par
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes Films à voir avant de crever, Top collabos célèbres, Les meilleurs films de Quentin Tarantino, Top 10 Samuel Jackson et Les meilleurs films avec Samuel L. Jackson
Créée
le 21 déc. 2015
Critique lue 1.2K fois
5 j'aime
D'autres avis sur Les 8 Salopards
7
8 hommes en polaires
On pourrait gloser des heures sur chaque nouvel opus de Tarantino, attendu comme le messie par les uns, avec les crocs par les autres. On pourrait aussi simplement dire qu’il fait des bons films, et...
le 9 janv. 2016
206 j'aime
31
8
Oh, you believe in Jesus now, huh, bitch? Good, 'cause you gonna meet him!
Crucifiée, les yeux tournés vers une terre enneigée, une statue christique enclavée au sol observe de loin cette Amérique qui subit les cicatrisations cathartiques du clivage des contrées du Nord...
Par
le 6 janv. 2016
143 j'aime
20
Du même critique
9
Wan again
L'ami James Wan confirme avec sa seconde incursion dans le domaine de la maison hantée qu'il est l'un des meilleur réalisateur de série B depuis la pré-retraite méritée de Carpenter. La mise en...
Par
le 26 juil. 2013
16 j'aime
7
3
Bienvenue chez Besson
Ce qu'il y a de rassurant avec Luc Besson, c'est qu'il est constant dans la médiocrité et qu'il tend parfois à la nullité sublime (voir l'abominable Jeanne d'Arc). Cette fois l'ami Luc (peut-être...
Par
le 23 sept. 2013
15 j'aime
18
3
Critique de Infinite par RedacJack
Infinite commence comme un blockbusters très con, mais plutôt bien mise en scène (Fuqua est un yes man mais un yes man avec du talent (voir Training Day et le premier Equalizer). On ne comprend pas...
Par
le 16 juin 2021
10 j'aime
2
