
Les 8 salopards : John Ruth est un chasseur de prime. Il amène Daisy Domergue à Red Rock pour qu'elle soit pendue, et qu'il empoche 10 000 $ de prime. En chemin, il devra s'arrêter dans l'auberge de Minnie et Sweet Dave pour échapper au blizzard. Alors que 8 hommes bloqués dans ce chalet, Le Major Warren, seul noir et ancien de la guerre de sécession, renifle une embuscade destinée à sauver Daisy.
Mon Dieu quel ennui !
C'est la première fois que je suis réellement déçu par un Tarantino... Le film se paye un casting 3 étoiles - de ce côté là, aucun problème - mais il se paye aussi 1h20 d'introduction interminable et effroyablement bavard.
On est dans une intrigue qui pourrait presque être digne d'Agatha Christie pourtant. Un huis clôt étouffant, dans une auberge entourée de montagne et de neige, avec une condamnée à mort, et probablement un ou plusieurs traitres. L'intrigue est donc bien présente, et le dénouement intéressant et bien réalisé, mais alors que s'est-il passé au départ ?!?!
Habituellement on est pressé de voir un director's cut, pour avoir un peu plus de matière, mais là, c'est la première fois que j'aimerais avoir un spectator's cut !
2h48 avec un générique de 4 minutes et un préambule interminable, c'est juste pas possible.