Les Amours imaginaires par CAT
DÉCEVANT en tous points.
D'une parce que mes chers amis m'en avaient fait une bonne publicité.
et de deux parce que: Un rythme lent, des personnages chiants et poseurs, un amoureux imaginaire aussi glamour qu'une tartine de rillette, une histoire de cristallisation aussi resucée que ta mère, des références lourdes lourdes et maladroites.
bref,à un jeune cool fan de cinéma ( tout à son honneur) qui parle (mal) de jeunesse , je préfère un vieux cool ( Araki) qui parle de jeunesse ( également) et qui la rend immensément plus sexy et subtile.
deux trucs cools néanmoins,les interludes ( meme si je ne sais pas à quoi elle servent au final), avec la fille rigolote à grosses lunettes. Elle était chouette, elle.
et le choix musical: ce moment "pass this on" est frais.L'autre moment fever Ray est également revigorant ( même si la pseudo scène de baston dans les bois est une misère)
ps: Louis Garrel, lache le bonnet, t'as l'air con.