Critique de Les Anges aux figures sales par Kalopani
C’est parce que les condamnations se multiplient à l’égard du film de gangsters que la Warner offre, en 1938, un polar moral : Les anges aux figures sales oppose, en effet, les trajectoires séparées à l'adolescence par la prison de deux amis d'enfance: Rocky Sullivan deviendra un petit prince de la pègre, adulé d'une bande de gamins, tandis que Jerry Connelly, devenu...
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Critique de Les Anges aux figures sales par Kalian
Un film de gangsters mis en scène par Michael Curtiz avec Cagney et Bogart, je ne pouvais décemment pas passer à côté. Et, malgré un à-priori positif indéniable, le parcours de Rocky Sullivan, de sa jeunesse à sa mort (il est vrai, à un âge plutôt faible), a réussi l'exploit de me surprendre, et de façon foutrement agréable qui plus est.
Ne vous inquiétez pas trop vite, on retrouve bien ce que...
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Les anges aux figures sales
Il s'agit d'un film noir, en noir et blanc. L'histoire se déroule à New York dans les années 30, période de grande crise économique. C'est surtout une histoire d'amitié, le destin de deux copains très proches et très différents en même temps. Au début du film on les voit chaparder, commettre de petits actes de délinquance. Après une course poursuite avec la police, très bien filmée, le destin...
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Rocky bat le bois
Le caïd Rocky Sullivan (James Cagney) sort de taule et chambarde derechef la jungle mafieuse (gangsters, avocats véreux, flics corrompus) new-yorkaise.
Il retrouve aussi son ami d'enfance devenu prêtre et chaperonnant des délinquants.
Ce sont ces jeunes gens livrés à la rue qui sont (censés être) au cœur de l'histoire de Michael Curtiz. Le retour dans le quartier de leur...
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James Cagney...
Deux amis d'enfance se retrouvent après 15 ans, l'un devenu gangster, l'autre prêtre. Michael Curtiz ne signe pas là son meilleur film, mais "Angels with Dirty Faces" aborde des thèmes intéressants. Il s'agit plus d'une œuvre sur la rédemption et l'innocence que sur le gangstérisme, proposant quelques personnages nuancés. James Cagney est ainsi fort charismatique dans le rôle du bandit à la...
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Le gangster au grand cœur qui s'ignore
Film noir réalisé par Michael Curtiz en 1938 racontant les itinéraires, dans un quartier populaire de New York dans les années 30, d'un voyou (James Cagney alias Rocky Sullivan) de son enfance à sa mort et celui parallèle d'un ami d'enfance (Pat O'Brien alias Jerry Conolly) devenu prêtre. Les deux ont à cœur de vouloir empêcher une bande de jeunes de sombrer dans la délinquance. Le problème...
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Figures majeures du genre
Même si ce n'est pas le grand film de Michael Curtiz, "Les Anges aux figures sales" n'en est pas moins brillant, passionnant du début à la fin. L'ensemble est peut-être relativement classique, mais est transcendé par des personnages particulièrement bien construits, et parce qu'il aborde des thèmes forts et intenses tels que l'amitié, l'amour ou la rédemption. Le dénouement est également un...
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Une fin grotesque
Film de gangster assez caricatural totalement ruiné par une fin ridicule. L'interprétation cabotine de James Cagney et la mise en scène de Curtiz parviennent néanmoins à susciter l'enthousiasme.
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un authentique chef d'oeuvre.
James Gagney est certainement né pour le rôle de ce film. Petit délinquant qui prend du galon la faute à pas de chance, et finit caid du quartier, et règle ses comptes à la sortie de prison.
Bogart apparait anecdotique à côté de cette performance.
La scène de fin m'a laissé pantois, elle est d'un symbolisme rarement égalé.
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Requiem pour un gangster
Les années 1930 furent sans conteste l'âge d'or des films de gangsters. Avec la Prohibition lors de la décennie précédente, puis son abolition, ces personnages ont crevé l'écran dans des films tels que Le Petit César (1931) avec Edward G. Robinson, Scarface (1932) avec Paul Muni, ou encore L'Ennemi Public (1931) et Les Fantastiques Années 20 (1939) avec...
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