Plusieurs « créatures » des bas-fonds tentent d'échapper à leur condition et de s'extraire de la fange. L'un d'eux, Pepel (Jean Gabin), voleur de profession fait la connaissance d'un baron ruiné avec lequel il se lie d'amitié. Il cherche également l'amour sur lequel il compte pour changer de vie.
Un Renoir pas complètement maîtrisé mais duquel échappe quelques fulgurances de modernité : le jeu de certains comédiens (pas forcément principaux) ou le piquant des dialogues. Une analyse sociale moins fine que celle de La grande illusion (chef d'oeuvre tourné par Renoir l'année suivante), un peu condescendant peut-être pour le peuple des bas-fonds à part la relation décrite entre le baron et son valet très grinçante (voire un autre Renoir La règle du jeu).
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