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État de piège
Quel que soit le sujet qu’il aborde, Peckinpah n’a eu de cesse d’illustrer ce que l’individu peut avoir de plus mauvais : en décapant le glamour des amants criminels dans Guet-Apens, des héros du...
le 22 mars 2017
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I don't know my way home
Avant de nous gratifier pour les fêtes d'un formidablement alimentaire "Mon Beau-Père et Nous", il y eût une époque où Dustin Hoffmann était un vrai acteur doté d'un goût certain dans le choix de sa filmographie. Alors qu'il venait d'enchaîner Little Big Man, Le Lauréat et Macadam Cowboy, il s'intéresse de près à l'histoire des Chiens de Paille et obtient le rôle auprès de Peckinpah. Et encore une fois, il ne s'est pas trompé.
Quelle claque que ce film! Encore une performance de très haute tenue pour Dustin, servi par la réalisation très nerveuse (la rumeur dit que le monteur aurait fini en dépression) de Peckinpah, qui permet de faire monter graduellement la tension jusqu'à son formidable épilogue.
Le scénario, sombre et pessimiste à souhait, mérite lui aussi les honneurs. Pourtant, l'idée de départ paraît simple : un couple qui s'installe dans une maison reculée de la campagne irlandaise. Une idée à la Nuit des Morts-Vivants, où les zombies sont remplacés par des Irlandais consanguins dégénérés.Mais le réalisateur parvient à en tirer l'un des films les plus malsains qu'il m'ait été donné de voir. C'est peut-être pour ça qu'il fût censuré en Angleterre....
Quelle claque que ce film! Encore une performance de très haute tenue pour Dustin, servi par la réalisation très nerveuse (la rumeur dit que le monteur aurait fini en dépression) de Peckinpah, qui permet de faire monter graduellement la tension jusqu'à son formidable épilogue.
Le scénario, sombre et pessimiste à souhait, mérite lui aussi les honneurs. Pourtant, l'idée de départ paraît simple : un couple qui s'installe dans une maison reculée de la campagne irlandaise. Une idée à la Nuit des Morts-Vivants, où les zombies sont remplacés par des Irlandais consanguins dégénérés.Mais le réalisateur parvient à en tirer l'un des films les plus malsains qu'il m'ait été donné de voir. C'est peut-être pour ça qu'il fût censuré en Angleterre....
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le 1 mars 2011
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