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Si vous ne saviez pas, comme ça je vous ai pourri mon début 2011.
Non parce que moi déjà ça me cassait les pieds de savoir ça, vu comme je l'avais aimé dans Podium ou les Portes de la Gloire mais après les Émotifs anonymes, je ressens la chose avec une douleur renouvelée.
Que vous en dire ? Isabelle Carré est une femme qui joue parfaitement les "femmes dont on est amoureux" et la fragilité (c'est lié ? sans déconner). Si vous avez un doute, revoyez la Femme défendue d'Harel. Poelvoorde joue parfaitement les mecs pas sûr d'eux mais qui font mine de. Type Les Portes de la gloire. Alors les deux vont bien ensemble, dans cette histoire de gens qui ont peur. Peur de quoi ? "D'à peu près tout" dit Poelvoorde, pardon Jean-René. De la vie pourrais-t-on dire. Au milieu de ça le chocolat est un prétexte, mais après tout pourquoi pas, il permet aux dialogues savoureux de trouver leur place, il n'en fallait pas plus.
Sur ce, je retourne pleurer en espérant qu'il chance d'avis.
Si vous ne saviez pas, comme ça je vous ai pourri mon début 2011.
Non parce que moi déjà ça me cassait les pieds de savoir ça, vu comme je l'avais aimé dans Podium ou les Portes de la Gloire mais après les Émotifs anonymes, je ressens la chose avec une douleur renouvelée.
Que vous en dire ? Isabelle Carré est une femme qui joue parfaitement les "femmes dont on est amoureux" et la fragilité (c'est lié ? sans déconner). Si vous avez un doute, revoyez la Femme défendue d'Harel. Poelvoorde joue parfaitement les mecs pas sûr d'eux mais qui font mine de. Type Les Portes de la gloire. Alors les deux vont bien ensemble, dans cette histoire de gens qui ont peur. Peur de quoi ? "D'à peu près tout" dit Poelvoorde, pardon Jean-René. De la vie pourrais-t-on dire. Au milieu de ça le chocolat est un prétexte, mais après tout pourquoi pas, il permet aux dialogues savoureux de trouver leur place, il n'en fallait pas plus.
Sur ce, je retourne pleurer en espérant qu'il chance d'avis.
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le 8 janv. 2011
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