Les Femmes du 6e étage par Tyran
Ca partait d'un bon sentiment, et il faut toujours se méfier des bons sentiments. Les bourgeois coincés qui crèvent à petit feu de leur vie chiante comme la pluie dynamités par les bonniches espagnoles qui vivent avec un chiotte à la turque pour 10 mais gaies comme des merles moqueurs nourris à la paëlla.
On pourrait dire "vivifiant! Un retour à l'essentiel, aux valeurs vraies, en ces temps de crise! Salutaire!"
Moi je ne peux pas m'empêcher de remarquer que le bourgeois a attendu que sa bonniche soit bonnasse pour aller faire un tour au dernier étage et découvrir "la vraie vie". Et qu'on ne me parle pas d'amour "qui traverse les classes sociales", l'amour est ici basé sur la cuisson des oeufs à la coque.