"Il faut vivre". Dans ce conte oriental adapté du roman de Yasmina Khadra, le mantra des personnages principaux demeure le même tout au long ce film d'animation en aquarelle à la fois doux et violent. : "il faut vivre", coûte que coûte en faisant abstraction de la réalité. C'est la résistance des personnages à l’oppresseur qui donne le goût de la liberté. Il n'y a pas de liberté sans résistance.
Kaboul, sous le contrôle des Talibans, Mohsen et Zunaira s'aiment et rêvent de liberté. Ce film ouvre les yeux sur l'essence du mot chéri : liberté.
Poignant.