Le film démarre comme un film choral mélodramatique, il nous présente la vie de quelques habitants d’une petite bourgade, pour ensuite basculer dans le film noir. Le croisement de ces deux genres n’est pas rare, mais le basculement s’opère ici de façon étonnante. Notamment car Fleischer déroule une narration qui prend à contre pied. Le fameux braquage annoncé dès le début n’apparaîtra que dans la dernière demi-heure et de façon très brève, au moment où on l’aura presque oublié, intrigué par... Lire l'avis à propos de Les Inconnus dans la ville