Tiens, un chinois.
Scénar de base qui rappelle la femme d'à côté : Jacques et Carole vivent peinards et heureux avec leurs deux ados de gosses dans une chouette maison, dans un coin paumé. François et Edith viennent...
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le 2 oct. 2013
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Si on voit bien ce que Noémie Lvovsky a voulu faire - disons montrer la jolie part de folie qu'il a, à tout âge, dans le fait de tomber amoureux -, force est de constater que "les Sentiments", après un impeccable départ, fait plus que décevoir : toutes les fantaisies joyeuses, voire incongrues (les couleurs éclatantes, le chœur opératique commentant l'action - pénible, celui-là -, l'hyper-activité quasi-générale), qui permettent de parer une histoire banale d'une distance vaguement moderniste, ne dissimulent plus rapidement la vacuité du propos, ou du moins son incertitude. Et lorsque la catastrophe surgit, et que tout ce petit monde en sort brisé, l'ombre gigantesque du sublime "la Femme d'à côté" finit par écraser ce tout petit film. [Critique écrite en 2006]
Créée
le 6 oct. 2016
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