On est en 1960, le fantaisiste Richard Quine s'assombrit et signe avec "Strangers when we meet" une chronique ordinaire façon Douglas Sirk, la trivialité en plus. Histoire de coeurs et histoire de corps, du tact, de l'humain trop humain, le sens du cadrage, Kim Novak sublimissime en romantique charnelle.

MichaelAnthoine
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le 9 juin 2013

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