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Wolverine a connu des hauts et des bas dans sa carrière cinématographique, c’est le moins que l’on puisse dire.

Logan est un des deux films sur lequel tout le monde a été d’accord l’année dernière avec La La Land pour dire que c’est au moins bien.

On peut presque dire que ce n’est pas un film de super-héros, le film marcherait très bien sans super pouvoirs, et ces pouvoirs sont presque anecdotiques, que du combat à mains nues, de la violence pur, du sang, des morts, des regrets.

L’action est même secondaire ici, ici il n’est pas question de sauver le monde, mais de sauver sa peau, dans ce monde où les mutants sont traqués, je me suis même étonné à attendre les phases de discussions tellement l’alchimie entre ces personnages fonctionnent bien.

Les scènes d’actions sont là aussi jouissives, toujours à fond et sans cacher ce qui pourrait choquer et ça James Mangold s’en fout de choquer, il veut montrer le réel alors si une gamine se fait embrocher et bien il ne le cachera pas.

C’est sincèrement un des meilleurs films de super-héros que j’ai été donné de voir, tellement unique et différent dans son approche des mutants et de son esthétique crase presque Western, je ne pouvais tomber que sous le charme de Logan, Charles Xavier et de Laura, qui ici n’ont plus de surnoms, ne sont plus des super héros mais des humains.