Love et autres drogues est un film de bons sentiments on ne peut plus classique.
Un mec banal (incarné par le craquant Jake Gyllenhall), qui bosse pour une énorme boîte à fric américaine (Pfizer), rencontre une petite créature fragile mais chiante, j'ai nommé Anne Hathaway, victime d'un Parkinson. A ma grande surprise, le couple Gyllenhall-Hathaway fonctionne plutôt bien.
C'est drôle (mention spéciale pour le clochard qui vole des Prozac), mignon, on voit les abdos et les fesses de Jake (et le seins d'Anne Hathaway pour vous messieurs), et ça a même fait pleurer mes copines à la fin. Bref, pas mal d'ingrédients pour que ça fonctionne bien.
Toute cette histoire se passe sur fond de guerre économique entre magnats de la pharmaceutique et plus particulièrement l'engouement qui a suivi la commercialisation du Viagra. Cela donne lieu à des scènes moralisatrices un peu longuettes, mais les bons sentiments à l'américaine, ça ne peut pas faire de mal de temps en temps...
Un bon moment, mais qui ne mérite pas de le voir au cinéma.