
Besson pose le postulat que l'homme moyen n'utilise que quelques pourcents des capacités de son cerveau (scientifiquement c'est faux, désolé de faire le rabat-joie). Scarlett prend involontairement une drogue Nextgen et pouf la voilà passant du stade de proto-pimbêche à celle du Dieu omnipotent en moins de 24h.
C'est donc un film de super-héros, un Marvel franchouillard? Malheureusement non.
Pas d'effets spéciaux exubérants, pas de tension insoutenable, pas d'enjeux. Juste de l'ennui, ce qui vu la durée du film (1h20) est un exploit à souligner.
Il ne se passe rien et quand le film se termine, on se dit qu'il est bien loin le temps où Besson nous sortait du Nikita, du Leon...