Je préfère imaginer que Kevin Spacey a eu envie de s’amuser dans cette comédie légèrement lourde sur les bords. Sorti de quelques blaguounettes félines, le film n’est pas très fin, les effets spéciaux franchement laids et le personnage du milliardaire égocentrique qui va retrouver le sens des vraies valeurs (famille, amour, whisky) après avoir été métamorphosé en chat (pourquoi pas ?) est caricatural à 200% et prévisible à 400. En France on a eu « Didier » (bon, ok, c’était un labrador), et c’était vraiment plus drôle. A réserver aux enfants !