Depuis maintenant 2 ans que j'ai le permis ( 28 points messieurs mesdames ), j'ai beau roulé dans Marseille j'ai jamais vu de type jouer de la guitare sur le capot d'une voiture; dans le meilleur des cas: un type vomir son Amsterdam sur le devant d'une clio.
Je ne connais pas l'univers de Mad Max, je ne sais donc pas dans quelle propension Fury Road reprend les détails des volets précédents,
mais dieu sait que c'est bon.
Un aller retour d'enfer, avec des personnages qui se suffisent à eux même, pas besoin d'en savoir plus sur le passé, une vielle histoire de rédemption dans un désert impitoyable, quelques pauses plutôt biens foutus entre deux courses poursuite, dont les meilleurs moments sont ceux ou on se concentre sur les bolides (c'est plus marrant que deux types qui se bastonnent sur le toit des voitures), t'ajoutes à cela une belle photographie et une Furiosa démente qui semble bien être le personnage principale de ce film.
Que demande le peuple ?
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste En 2015, comme dit Roi Heenok: les vrais blancs font les vraies choses. Et les vrais noirs aussi, les vrais juifs, les vrais musulmans, le roi n'est pas raciste, il est même anti-raciste !
Créée
le 16 mai 2015
Critique lue 324 fois
11 j'aime
D'autres avis sur Mad Max - Fury Road
J'ai perdu l'habitude de me précipiter voir les dernières grosses sorties lors des premiers jours, mais baste ! Un cas de force majeur m'oblige à filer au cinoche aujourd'hui et quoi de mieux que les...
Par
le 14 mai 2015
232 j'aime
152
Il y a maintenant trente six ans, George Miller apportait un sacré vent de fraîcheur au sein de la série B avec une production aussi modeste que fracassante. Peu après, adoubé par Hollywood, le...
Par
le 17 mai 2015
208 j'aime
20
Je viens de vivre un grand moment. Je ne sais pas si c’est un grand moment de cinéma, mais ce fût intense. Mad Max: Fury Road m’en a mis plein la gueule. Deux heures d’explosions, de fusillades et de...
le 16 mai 2015
182 j'aime
21
Du même critique
Il pensait être notre égal. Il croyait qu'en habitant et vivant près de nous, nous l’aurions accepté. Il était arrogant, nous considérant comme des peluches, il disait être un ami mais il était...
Par
le 21 août 2013
36 j'aime
13
La terre se meurt, c'est le point de départ du film, dès le début on voit la déchéanche de la race humaine. La terre se renouvelle, l'humain n'est plus le bienvenu. On suit Cooper, on le suivra tout...
Par
le 16 nov. 2014
22 j'aime
5
Lars Von Trier est le cinéaste de la lâcheté, dans ce qu'elle a de plus terrible. Elle parcourt le diptyque nymphomaniac, on l’aperçoit dans les idiots, elle transcende Melancholia La lâcheté à tout...
Par
le 6 nov. 2014
12 j'aime
1
