Sam, journaliste indépendant, profite de sa culture musulmane pour infiltrer les milieux intégristes de la banlieue parisienne. Il se rapproche d’un groupe de quatre jeunes qui ont reçu pour mission de créer une cellule djihadiste et semer le chaos au cœur de Paris.
Pas facile comme film surtout dans le contexte actuel ... On plonge dans une cellule terroriste dormante, formée par des jeunes musulmans extrémistes qui ont soif de vengeance envers la France... La première scène avec un Imam salafiste qui met l'accent sur tout ce que la France permet et qui insulte sa religion... Ouverture vers les autres, le sexe, le libertinage, l'égalité, la fraternité, toutes ces valeurs importantes à nos yeux qui sont pour lui symbole de la décadence. Leur but est d'orienter les pensées des hommes perdus pour mettre le feu à notre société..
On va suite, Sam, journaliste qui va participer va s'engager dans ce processus de cellule terroriste pour démasquer les commendataires... Mais très vite, il va vouloir arrêter et balancer les autres mais la police veut découvrir qui est le cerveau et va l'obliger à continuer son investigation..
Ce film semble vraiment très réaliste notamment par rapport a tout ce qu'on a pu entendre sur les terroristes... C'est un bon film, violent, dur mais très intéressant... Il nous montre plein de choses...
Tout d'abord, que finalement ceux qui s'engagent pour devenir les acteurs de ces faits indignes n'ont pas forcement bien compris et envies de le faire... Ce sont plus des gens influençable, des suiveurs qui font le sale boulot...
Ce film me parait très important car il recentre bien les idées notamment sur le débat musulman... Et oui, on comprend bien qu'il ne faut pas assimiler les musulmans aux extrémistes...Cela n'a rien a voir... Et ce n'est qu'une partie minime de musulmans qui sont extrémistes...Le héros, un musulman, qui souhaite démanteler le réseau pour vivre en musulman français et libre dans notre pays... Une belle histoire...
Pas évident pour tous de comprendre ça..Dommage dans un pays comme le notre.