Makala pose une question éthique, celle de la distance qu’est censée prendre un réalisateur, ici de documentaire, face au sujet qu’il filme. Ce sujet est ici double puisqu’il s’agit à la fois d’un homme, Kabwita, et d’un contexte, celui d’une pauvreté extrême comme moteur d’un courage surhumain.
Lire la suite ici : http://www.bubzine.fr/2018/01/07/makala-emmanuel-gras/

Francois-Corda
8
Écrit par

Créée

le 5 janv. 2019

Critique lue 224 fois

François Corda

Écrit par

Critique lue 224 fois

D'autres avis sur Makala

Makala
seb2046
8

Kabwita, un super-héros très discret...

MAKALA (Emmanuel Gras, FRA, 2017, 96min) :Cette hallucinante chronique narre le quotidien héroïque de Kabwita, un villageois congolais vendeur de charbon qui ne ménage pas ses efforts pour offrir un...

le 18 déc. 2023

9 j'aime

Makala
Morrinson
6

Poésie du charbon de bois

Il existe mille façons de questionner la frontière poreuse qui distingue la réalité de la fiction, et Emmanuel Gras avait sans doute déjà fait ses premiers pas dans cette direction-là dans son...

le 20 févr. 2018

5 j'aime

Makala
Cinephile-doux
6

Au charbon

On se pose des tas de questions en regardant Makala. Déjà, sur son essence de documentaire puisque, visiblement, tout était scénarisé et a été joué ou rejoué. Mais on en accepte le principe parce que...

le 6 déc. 2017

4 j'aime

3

Du même critique

Les Chambres rouges
Francois-Corda
4

Les siestes blanches

La salle de procès qui introduit Les Chambres rouges est d'un blanc immaculé et incarne aussi bien l'inoffensivité de son propos que le vide existentiel qui traverse son héroïne Kelly-Anne. On ne...

le 24 janv. 2024

4 j'aime

1

The Telemarketers
Francois-Corda
8

My name is Patrick J. Pespas

Les frères Safdie, producteurs de The Telemarketers, ont trouvé dans Patrick J. Pespas l'alter ego parfait de leurs personnages aussi décalés qu'attachants créés dans leurs longs métrages de fiction...

le 3 nov. 2023

4 j'aime

Rire une dernière fois avant la fin du monde…
Francois-Corda
8

Critique de Rire une dernière fois avant la fin du monde… par François Corda

Didier Super se repaît de la lie de l’humanité, c’est son fonds de commerce. Qu’il soit parvenu à élever ce concentré de bêtise crasse au rang d’art (cf. ses albums Vaut mieux en rire que s’en foutre...

le 17 juin 2020

4 j'aime

2