Du pur cinéma
Tout simplement du grand cinéma. Si les deux volets sont réellement différents, ils se complètent parfaitement et le personnage Mesrine, plus complexe qu'on a bien souvent voulu le décrire, est ici...
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le 18 juin 2011
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C'est toujours plus ou moins le même problème avec ces biopics. Soit l'histoire est travestie pour la faire rentrer dans un moule, soit elle se laisse aller à suivre toutes les turpitudes de son sujet. Avec cet "Instinct de mort", on est un petit peu entre les deux, ce qui est à son avantage dans la première partie. Le personnage attire le regard, d'autant plus que Cassel est au diapason niveau interprétation. Et puis après, on voit les turpitudes du pauvre Mesrine s'enchaîner, on passe d'un registre à un autre, d'un Cornau à "Prison Break", de notre vieille France aux grandes contrées américaines... On ressort de là en se disant que le moment était plaisant et bien filmé, mais en se demandant un peu si le sujet en valait vraiment la peine... Malgré tout, pour ceux qui ont vu les deux épisodes d'un bloc (comme certains membres qui ont eu le privilège de le voir en présence de l'équipe) ! les critiques sont dithyrambiques... Donc peut-être que le second opus saura donner du sens à cet "Instinct de mort" qui, en attendant, reste un spectacle qui mérite honnêtement son déplacement.
Créée
le 13 nov. 2017
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le 18 juin 2011
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"_Quand je serai grand, je serai Jacques Mesrine. _Belle ambition! Pourquoi? _Ce mec, il a de l'honneur. _Ah oui? Et c'est quoi l'honneur? _Si tu me manques de respect, j'te fume et je nique ta mère...
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