He already has issues. That's something he might never recover from.

Et patatras ! Il fallait s’y attendre, mais c’est donc bien avec ce troisième film que cette franchise se plante. La faute à une intrigue en perte totale d’originalité, tournant laborieusement en rond pour tenter de créer quelque chose qui n’aboutit jamais, se sentant obliger de faire des références filmiques pour ses gags. C’est dommage, parce qu’en soit ces références sont plutôt marrantes justement, mais vu qu’elles sont le seul ressort comique, ça tombe un peu à plat. Et puis voilà, l’intrigue même est tellement longue, laborieuse, sans vraiment d’autre intérêt qu’un prétexte bidon pour faire un troisième film. À cela s’ajoute des acteurs qui viennent encaisser un chèque sans grande conviction, à part éventuellement Kevin Hart qui joue les guests de luxe, et Ben Stiller qui tente de maintenir un navire à flot que Robert de Niro a décidé d’abandonner. Au final, il n’y a que techniquement où ça reste grosso-modo du même calibre, même si la mise en scène est bien paresseuse dans les gags.

Bref, un ratage comme on pouvait s’y attendre. D’habitude, ça arrive dès le deuxième opus, mais cette fois-ci il y a eu un film de latence. Comme quoi, faut pas trop abuser des bonnes choses dans la vie.