Critiques de Nocturama

Sergent_Pepper
8

Les maux et les choses : architecture de l’essence inhumaine.

« Ça devait arriver », affirme Adèle Haenel en passante sur son vélo, lors de l’une des rares interactions avec l’extérieur. On devra se contenter de cet unique et lacunaire revendication : en...

le 26 sept. 2016

111 j'aime

6

guyness
2

For absent friends

Il y a ce pote que tu côtoies pendant des années, que tu trouves agréable, sympa, dont tu apprécies la compagnie, et dont tu penses un beau jour pouvoir le compter au nombre de tes amis. Ce n'est que...

le 2 mars 2017

74 j'aime

15

Velvetman
8

Jeunesse de France

Deux des commanditaires de l’attentat perpétré dans Nocturama, deux étudiants, sont assis dans un restaurant et discutent sur la chute de la civilisation, l’ennemi intérieur et des modalités du...

le 2 sept. 2016

72 j'aime

4

Chaosmos
7

Le Spleen de Paris

Enthousiasmé comme rarement à la sortie d'un film, j'ai préféré prendre quelques jours avant de m'exprimer sur ce dernier. Mais force est de constater qu'avec du recul mon avis ne diffère en rien,...

le 10 sept. 2016

59 j'aime

33

EricDebarnot
2

Less than zero

Sous les brillants auspices de Bret Easton Ellis ("Glamorama" et ses top models terroristes) et de J. G. Ballard (dérives auto-destructrices de la jeunesse dorée), l'atroce Bertrand Bonello a réalisé...

le 12 sept. 2016

57 j'aime

35

FannyGiordano
1

Je ne vous conseille pas Nocturama.

Je l’ai vu en avant première, avec présentation par Bertrand Bonello son réalisateur, ce qui me permettra d’affirmer quelques faits dans cette critique, ayant discuté avec l’auteur lui même. Il y...

le 31 août 2016

53 j'aime

20

pierreAfeu
4

The bling ring

La première partie est une chorégraphie muette, un ballet de croisements et de trajectoires, d'attentes, de placements. C'est brillant, habilement construit, presque abstrait. Puis les personnages se...

le 7 sept. 2016

51 j'aime

7

Kiwi-
8

Le crépuscule des cygnes.

Écrit il y a de nombreuses années, « Nocturama » se place, dès son postulat, comme une œuvre disposée à créer des débats. Subversif, le film l'est clairement, en nous attachant à des quidams qui, de...

le 1 sept. 2016

47 j'aime

5

Grard-Rocher
9

Critique de par Gérard Rocher La Fête de l'Art

Comme chaque jour à Paris, chacun vaque à ses occupations quotidiennes. Dans ce va et vient, quelques jeunes gens disséminés çà et là, téléphones portables en mains, entrent en contact afin de...

36 j'aime

14

Shania_Wolf
8

Le pressentiment du chaos

Véritable portée politique ou simple film de genre guidé par un prétexte comme un autre ? Voilà la question qui démange alors que défile le générique, clôturant un final saisissant. C’est que...

le 30 août 2016

32 j'aime

7