Bon ben comme d'hab : un Araki, des jeunes bisexuels qui se droguent et du sang. Donc un 6. Critères on ne peut plus objectifs.

Particularités de Nowhere : plein de jumeaux flippants et des super papiers peints dans les chambres d'ados !


PS : C'est sûrement le Araki où le jeune rote le plus.
Pruneau
6
Écrit par

Créée

le 28 oct. 2010

Critique lue 405 fois

5 j'aime

13 commentaires

Pruneau

Écrit par

Critique lue 405 fois

5
13

D'autres avis sur Nowhere

Nowhere
Citizen-Ced
7

Ado-calypse

Sorte de plongée psychédélique dans la journée d'une bande d'ados, Nowhere c'est un peu un condensé de tout ce qu'on a dans la tête à cet âge là : un gros bordel mélant rêves et désillusions, amour...

le 26 mai 2014

24 j'aime

Nowhere
Velvetman
9

Generation X

A Los Angeles, plane un air lancinant qui chuchote ses chansons mais voit siffler un refrain malheureusement aussi inquiétant. Sous ce soleil doré, la jeunesse est grivoise, droguée et enjouée mais...

le 17 sept. 2018

23 j'aime

1

Nowhere
Le_Prophète
9

Nowhere Boy.

Lorsqu'on regarde un film de Gregg Araki, il faut déjà commencer par s'imaginer que la moitié des humains sont gays, ça enlève quelques surprises. Faut aussi s'attendre à quelque chose d'assez...

le 19 janv. 2013

20 j'aime

2

Du même critique

Django Unchained
Pruneau
5

Amour chaînes

En se concentrant purement sur une exégèse westernienne du film, on va dire qu'il y a trois inspirations différentes. La première se place dans la tradition assez classique du western. On est au...

le 22 janv. 2013

70 j'aime

8

Winchester 73
Pruneau
9

C'est bath Mann

Un Anthony Mann avec James Stewart, rien de plus classique. Sauf que le personnage principal est une winchester 73. Carabine à 15 coups, surnommée "the gun that won the west », elle attire à elle...

le 26 janv. 2011

51 j'aime

15

L'Intruse
Pruneau
8

Les moissons du fiel

City Girl démontre par le sublime que les bouseux sont des dégénérés. Alors oui, c'est pas un scoop, mais c'est toujours bien de rappeler quelques vérités dans ce bas monde. Lecture toute subjective...

le 11 déc. 2010

48 j'aime

20