On peut se dire qu'il était temps pour cette licence de s'arrêter (ou de faire une pause), car après un second volet qui cherchait à se renouveler mais en perdant selon moi l'efficacité du premier opus, cette nouvelle itération en forme de retour aux sources (Las Vegas, "Clair de Lune" de Debussy, etc.), comme pour s'appuyer sur plus de certitudes fait hélas pâle figure en comparaison de son modèle, au point de m'avoir fait m'endormir ; ce qui aurait été impensable avec Ocean's Eleven.
Avec en guest stars un Al Pacino plus décrépit que jamais, mais un Vincent Cassel dont le personnage sauve un peu les meubles, en apportant une touche de second degré.