Órbita 9 par Oskar Newon

Helena est seule dans son vaisseau, n’ayant pour seule compagnie qu’une IA du nom de Rebecca qui lui sert de compagnie. En effet, ses parents se sont sacrifiés en l’abandonnant, trois ans auparavant, pour qu’elle bénéficie d’assez d’oxygène pour survivre jusqu’à l’arrivée d’un technicien qui va pouvoir oeuvrer pour qu’elle puisse, ensuite, terminer son voyage jusqu’à la « terre promise », Céleste. Ce jour est enfin arrivé. Elle va faire la connaissance d’Alex qui fait son affaire et repart. Cette rencontre va la bouleverser, chambouler le monde qu’elle s’était construit dans sa solitude, et remettre beaucoup de choses en question.

Assez mitigé suite au visionnage de ce film espagnol diffusé sur Netflix, pour ceux qui voudraient le voir. Il n’est pas inintéressant mais il manque quelque chose. Il aborde des thèmes intéressants mais ne les exploite pas réellement, notamment la question écologique qui est évoquée à un moment donné mais qui n’est qu’effleurée. On reste souvent à la surface et c’est dommage. Sans être révolutionnaire, c’est un film qui n’est pas désagréable, qui n’est pas ennuyeux malgré son rythme assez lent parfois. En revanche, il ne faut pas vous absenter sinon vous pourriez perdre le fil.