Critiques de Orlando

Fêtons_le_cinéma
6

« Nous sommes liés »

Orlando fond et confond les genres, qu’ils soient sexuels ou cinématographiques, au nom d’une peinture du cœur humain dans ce qu’il a de plus solitaire et pourtant tendu vers l’attachement. Il...

le 6 mars 2021

7 j'aime

monsieurlemercoeur
8

Rétro, arty, expérimental mais pourtant actuel

Aussi moderne que la prose de Virginia Woolf, le classique de Sally Potter prend des partis pris audacieux : changements de genre, contemplation, narration interrompue, regards face caméra,... Mais...

le 2 mars 2018

5 j'aime

Sophia
7

Critique de par Sophia

Vision de la femme enfermée dans la société se libérant au fil du temps et des siècles, Orlando est une ouvre originale, et le ton oscillant entre l'humour et le sérieux, entre le poétique et le...

le 12 mars 2016

4 j'aime

Voracinéphile
7

Fais pas genre !

Dès le début de son film, Sally Potter se démarque de la concurrence en matière de reconstitution historique par le raffinement de sa mise en scène. Que ce soit sur la direction artistique...

le 26 déc. 2023

2 j'aime

2

MalaurieR
7

Une odyssée poétique et saisissante sur l'identité de genre

Je n’ai pas boudé mon plaisir de regarder Orlando (1992) de Sally Potter. Tilda Swinton y incarne donc Orlando, un jeune noble qui, à la demande d’Elizabeth Ier, ne va pas vieillir, et qui, de ce...

le 21 juil. 2023

2 j'aime

SybilleGuerriero
7

Ne laisse pas indifférent(e)

C'est suite à la vision du film Vita & Virginia de Chanya Button que j'ai décidé qu'il était temps : une commande Amazon plus tard, me voilà en possession du DVD! Je ne savais pas vraiment à quoi...

le 8 mars 2020

1 j'aime

serge_la
5

Trop gentil pour être anglais

Le film est définitivement étrange. Le héro anglais est beaucoup trop gentil, faible et intellectuel pour être anglais. Une vie trop longue, discussion avec la caméra, lent, le film avance pendant...

le 30 mars 2018

Popsy
10

Critique de par Popsy

Fascination pour les grands yeux de Tilda Swinton qui nous fixent, et nous content les mystères d’un étrange mélange de genre.

le 4 août 2013